14 février 2006
Le mot de la fin
Donnez mois votre
Amex, je vais la découper devant vous.
J’ai enfin trouvé le courage de quitter la firme et avec elle le monde de l’entreprise.
Je présente mes excuses à tous mes lecteurs pour cette longue absence qui ne s’explique que :
- par ce que je suis fainéant et que j’ai assez de contraintes dans ma vie pour me ne pas me forcer à écrire dans un blog,
- et surtout par ce que je n’avais plus grand-chose à dire , que je m’étais enfermé dans mon côté râleur alors qu’en réalité je suis quelqu’un de profondément optimiste et que je me suis toujours considéré comme incroyablement privilégié. La qualité de ce que j’écrivais étant en chute libre et je ne trouvais rien pour y remédier. Que voulez vous, ma vie n’est pas assez passionnante et manque un peu de rebondissement pour en faire un blog.
La dépublication des précédents billets est due :
- au fait que l’adresse de ce blog se soit propagée auprès des gens avec qui je travaille ;
- au fait que j’ai un autre projet de blog sur le même sujet, recyclant les idées de celui-ci, me permettant d’écrire plus de choses, de raconter des histoires qui ne me sont pas arrivées personnellement, de me débarrasser de mon personnage, de m’amuser un peu plus.
Pour ceux qui se demandent ce que je fais désormais, j’ai pris le risque de gagner moins d’argent pour avoir plus de temps libre, un boulot qui me convient et la maîtrise de ma carrière. Un indice : je ne vais pas devenir cyclitse…
J’ai enfin trouvé le courage de quitter la firme et avec elle le monde de l’entreprise.
Je présente mes excuses à tous mes lecteurs pour cette longue absence qui ne s’explique que :
- par ce que je suis fainéant et que j’ai assez de contraintes dans ma vie pour me ne pas me forcer à écrire dans un blog,
- et surtout par ce que je n’avais plus grand-chose à dire , que je m’étais enfermé dans mon côté râleur alors qu’en réalité je suis quelqu’un de profondément optimiste et que je me suis toujours considéré comme incroyablement privilégié. La qualité de ce que j’écrivais étant en chute libre et je ne trouvais rien pour y remédier. Que voulez vous, ma vie n’est pas assez passionnante et manque un peu de rebondissement pour en faire un blog.
La dépublication des précédents billets est due :
- au fait que l’adresse de ce blog se soit propagée auprès des gens avec qui je travaille ;
- au fait que j’ai un autre projet de blog sur le même sujet, recyclant les idées de celui-ci, me permettant d’écrire plus de choses, de raconter des histoires qui ne me sont pas arrivées personnellement, de me débarrasser de mon personnage, de m’amuser un peu plus.
Pour ceux qui se demandent ce que je fais désormais, j’ai pris le risque de gagner moins d’argent pour avoir plus de temps libre, un boulot qui me convient et la maîtrise de ma carrière. Un indice : je ne vais pas devenir cyclitse…
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